les fous du travail, et vous?
Si vous travaillez beaucoup, le tableau ci-dessous vous permettra d’appréhender si cela est bon pour vous et vos proches, ou à terme risque de vous mettre en danger.
Soyez vigileant ! J’ai moi même été une dingue du travail avec une performance élevée. Et si cela me procurait beaucoup de plaisir par l’épanouissement et la reconnaissance que j’en retirais, que j’étais en pleine santé physique et psychique, je ne me rendais pas compte qu’au fil du temps, je m’écartais peu à peu de mes loisirs, de mes amis et ma vie sentimentale diminuait en intensité. Uns seul élément me manquait pour me définir comme une vraie engagée au travail : une « vie familiale et sociale développée… Son développement est un élément notoire à notre équilibre et enthousiasme !
Autrement dit, il ne suffit pas d’être en couple et échouer sur le canapé en rentrant, jouer au golf ou voir ses amis tous les 36 du mois, laisser tomber le fitness les 3/4 du temps, ou aller au ciné quand vous avez moins de travail …
=> Suivez le tableau et auscultez en vous chacun des composants énumérés de l’engagement au travail et du workalism.
=> observez bien les effets sur vous
=> demandez à votre entourage (collègues, conjoint, enfants, amis…) comment ils vous perçoivent (ils vous permettront d’ôtez vos oeillères!)
=> soyez attentifs aux émotions ressenties dans la journée et quand tout le monde rentre à la maison : si la culpabilité, la colère ou une peur quelconque vous habite ou pointe, alors vous vous trouvez dans la colonne de droite. Prenez absolument du recul!
Et ce n’est pas une honte si c’est vous penchez workaholism … j’en ai souffert longtemps et ce fut long à m’en remettre car je ne savais pas le repérer et à qui parler !
Vous pouvez m’adresser un message en page contact ,je vous donnerai des pistes pour redresser la barre facilement et rapidement.
Belles journées à prendre soin de vous 🙂
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(*)ce tableau est extrait de « Cerveau et Psycho » Numéro 60, bi-mensuel nov-dec 2013.